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Regardons les choses en face – de nombreuses parties des systèmes actuels des réglementations de transport canadiennes et américaines ne sont pas exactement synchronisées avec la technologie moderne. Ces systèmes remontent aux méthodes du début du XXe siècle (ou même avant), lorsque les outils les plus modernes pour créer des papiers d'expédition étaient des machines à écrire ou ce dernier miracle de la technologie de pointe, le stylo à bille. Ainsi, la norme veut que les expéditions de marchandises dangereuses aux États-Unis et au Canada soient toujours accompagnées d'un document papier contenant les informations essentielles pour les intervenants d'urgence.
Aujourd'hui, près de cent ans plus tard, nous devons nous demander s'il existe un meilleur moyen.
L'étude Sandbox sur les documents d'expédition électroniques
Transports Canada a commencé à essayer de trouver une réponse à cette question. Au début de 2020, ils ont lancé une étude « bac à sable » pour voir si les documents électroniques d'expédition de marchandises dangereuses seraient réalisables. L'étude s'est terminée ce printemps et un rapport sur les résultats vient d'être publié le 21 octobre.
Tout d'abord, vous vous demandez peut-être ce qu'est une étude "bac à sable" ? Eh bien, si vous êtes familier avec les jeux vidéo, c'est un terme qui désigne une activité où les participants sont autorisés à faire des choses sans conseils et comme ils le souhaitent. Pensez aux enfants jouant dans un bac à sable, creusant joyeusement ou construisant des choses sans qu'on leur dise comment le faire. Ce type d'étude permet aux participants de proposer des solutions qui pourraient ne pas être évidentes au premier abord pour les régulateurs.
Bien sûr, il y a un risque beaucoup plus grand lorsqu'il s'agit d'expéditions réelles de marchandises dangereuses, donc ce n'était pas aussi gratuit que votre terrain de jeu de quartier. Selon le rapport, "Transports Canada a identifié des entreprises intéressées à tester des documents d'expédition électronique et a travaillé individuellement avec elles pour trouver des solutions sûres en utilisant leurs systèmes d'exploitation existants". De plus, une attention particulière a été accordée aux groupes de lutte contre les incendies de la région, et Transports Canada a travaillé en étroite collaboration avec l'Association canadienne des chefs de pompiers pour s'assurer que les intervenants étaient adéquatement protégés. Cependant, des entreprises volontaires ont finalement été rassemblées et ont reçu des permis (certificats d'équivalence) pour essayer de nouvelles méthodes de documentation des expéditions de marchandises dangereuses.
Certains lecteurs ont peut-être déjà réalisé un problème potentiel – la date de début était juste avant que la pandémie de COVID-19 ne frappe. Bien que cela n'ait pas arrêté l'étude, cela a réduit le nombre et l'étendue des exercices pouvant être effectués pour tester l'efficacité des documents électroniques dans les situations d'intervention d'urgence.
Résultats de l'étude
Alors, une fois que les participants désignés ont terminé le bac à sable et se sont dépoussiérés, quelles ont été les conclusions ? Tout d'abord, on s'est rendu compte que tous les modes ne sont pas identiques.
Où allons-nous à partir d'ici?
Alors, quand pouvons-nous jeter ces copies papier et passer complètement au numérique ? Eh bien, évidemment pas encore tout à fait. Un certain nombre de problèmes ont été découverts qui font que le concept "n'est pas prêt pour les heures de grande écoute". Nous manquons encore d'infrastructures et de disponibilité d'équipements pour tous les intervenants.
Et il reste encore des blocages internationaux à surmonter. Bien que le chapitre 5.4 des Recommandations de l'ONU sur le transport des marchandises dangereuses autorise la technique de transmission EDI comme "alternative à la documentation papier", tous les pays n'adoptent pas ce concept. De nombreux pays d'Europe occidentale ont commencé à autoriser les documents électroniques, comme le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France. Et le département américain des Transports a été très intéressé par les résultats de cette étude et comment elle peut être appliquée aux États-Unis. Mais il y aura toujours un problème important quant à la façon dont les expéditions fonctionneraient si, par exemple, elles commençaient avec un document électronique au Canada, puis passaient dans un pays où les documents électroniques n'étaient pas autorisés.
Transports Canada a tracé ses prochaines étapes comme suit :
Soit dit en passant, si vous ne voulez pas renoncer à vos anciens documents d'expédition papier, ne paniquez pas. Transports Canada a l'intention de faire des documents électroniques une alternative, mais pas de remplacer l'option d'utiliser des copies papier.
Des questions?
Avez-vous des questions sur les documents d'expédition et sur la manière dont nous pouvons passer au numérique avec eux ? Êtes-vous intéressé à suivre les plans de Transports Canada?Contactez notre équipe d'experts en réglementation, ils peuvent vous conseiller sur les réglementations en vigueur et à venir.
Sources : Transports Canada, « Étude sur l'utilisation des documents d'expédition électroniques pour le transport de marchandises dangereuses », International Air Transport Association (IATA), Electronic Shipper's Declaration for Dangerous Goods (e-DGD) Implementation GuideFederal Railway Administration, « FRA Hazardous Materials Training Séminaire Rail EDI Hazmat "CN, Cartographie EDI404 pour les expéditions de matières dangereuses (réglementées par CFR49) en provenance des États-Unis Recommandations des Nations Unies sur le transport des marchandises dangereuses, Rév. 22 (2021)
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L'étude Sandbox sur les documents d'expédition électroniques Résultats de l'étude Où allons-nous maintenant ? Transports Canada a tracé les prochaines étapes comme suit : Des questions? Contactez notre équipe d'experts en réglementation Restez informé et inscrivez-vous à notre newsletter ! Nous avons tous les produits, services et formations dont vous avez besoin pour vous assurer que votre personnel est correctement formé et informé.